Stigmata Doloris 2008

Petite tirade humoristique face à quelques problèmes techniques dû à des connections défaillantes, des java non-uploadés etc... (en résumé, pas de java, pas de chocolat ou plutôt d'upload d'images...)

 

Bref, je (nous devrais-je dire...) sommes en vacances depuis plus d'une semaine.

Je crois que cette notion de "vacances" est quelque chose d'assez nouveau chez moi, apprise assez tard, j'en commence à apprécier les avantages (mais franchement cela fait aussi du bien quand cela s'arrête).

 

Descente dans le sud, là ou la langue se confond avec la "rocaille", entre montagnes et mer (nang pas la Corse, j'ai déjà donné, avant, avant et pendant ) mais plutôt des contrées tout aussi sauvages qui sentent bon la "fée"  (je rassure l'éventuel lecteur, "clochette" n'a pas de cet accent du "coing").

 

Descente d'une traite, là il faut admettre que la petite pointe de nostalgie lors du passage à quelques encablures d'un "château " qui nous avait hébergé lors de nos précédentes vacances, je l'ai sentie venant du for intérieur de la demoiselle...

Mais, notre but étant d'arriver au plus tôt et aussi un peu par défi, la route fut faîte d'une traite hormis un passage rapide dans une "commanderie templière" histoire de me retrouver personnellement dans quelques souvenirs.

 

Nous voilà donc installé dans les contrées de "clochette", pour ma part mon "linux" ne parvient pas à déjouer la connection wifi et je dois donc utiliser le" portable de la mort qui tue" (celui qui ronronne comme un chat dans un micro-ondes) pour survoler rapidement le net et ses enfers de luxure...

 

Difficile de gérer de loin quelques événements "à venir", événements professionnels et autres, centré sur un projet de descente fluviale (on va plutôt dire rivière, voire torrent estival)... ce dernier événement ayant un rapport avec l'univers du "sm" et du "fétichisme" (la communauté belgo-belge de FetLife s'étoffe assez bien et se retrouve de plus en plus active, ce qui n'est pas plus mal même si parfois je retrouve quelques ombres du passé (oui, je sais, je suis soit nostalgique soit révolté...).

 

En somme, je suis "forcé" provisoirement à vivre sagement (difficile de conjuguer avec le pc et des petites têtes blondes jeunes et moins jeunes, diffcile pour nous deux de nous faire plaisir en jouant même à "maux couverts" hormis s'égarer dans la lande, campagne, causse, rosellière...) et a parfaire un bronzage bien entamé lors d'un court séjour en montagne.

 

Séjour "nostalgie" pour la "fée" que j'ai agrémenté par l'expérimentation d'une discipline sportive (enfin pas trop...), le "Kart de Montagne", un condensé de caisse à savon muni d'un volant qui sert aussi de frein (donc on s'accroche au volant et on descend... et pour freiner, on s'accroche encore plus au volant...tout en récitant une prière, c'est qu'ils sont très religieux dans le coin).

 

L'engin dûment baptisé "Kart" (pas de moteur, la gravité  et la dénivellation d'une piste "bleue" sert de moteur) s'élance donc, roule sur un treillis de plastique étalé sur de la roche mise à nue, secoue, accélére, on s'accroche au volant, on se dit que le fait de porter un casque c'est bien mais que la ceinture en plus cela n'aurait pas été du luxe... et on continue sur sa lancée pendant 500 mètres.

 

On prie nettement moins, on ralentit quand on peut et on arrive en bas de la piste, le temps de se voir embarquer sur un télésiège qui vous remonte à la case départ (ce qui nous autorise la vision des marmottes (peu farouches) du coin qui se marre en voyant ces droles d'humains dévaler la piste avec des vitesses comprises entre 5 km/h (moi...je sais cela fait pas trop glamour) et 50 km/h (une des pirates, mais elle est sortie de la piste tout en arrachant six mètres de cloture...la honte !)

 

Bon dans le couplet le Lycan "aventurier" j'aurai pu parler de la tentative de se baigner dans un lac artificiel de montagne (le truc en béton dans lequel ils puissent l'eau pour les canons à neige) mais là, je dois bien avouer que savoir que l'activité était annulée m'a fait un grand plaisir (dissimulé, c'est que j'ai une réputation à tenir)... histoire d'O, oui... histoire d'eau (en plus glacée), non !

 

Voilà... tergiversations estivales, je rempile le clavier et zou, je me prépare pour une autre journée...

 

 

Mar 12 jui 2011 Aucun commentaire