Stigmata Doloris 2008

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Sacré été quand-même, de vulgaire loup un tantinet vieillissant, me voila quasi passé au stade de loup-de-mer vu le taux d'humidité ambiant.

Ceci-dit, je ne vais pas trop me plaindre, canicule et grand soleil n'ont jamais été ma tasse de thé, je présume qu'avec le temps, on s'habitue aux gris horizons, au ciel changeant, à la valse des nuages ou l'on devine quelques heures de "beau temps" entre deux averses.

Je suis plus en mode "gestion des affaires courantes", ce blog qui est ma mémoire n'est pas à l'abandon, disons que j'ai des occupations "chronophages".

Si l'année passée, je m'étais régalé d'une représentation d'un fantastique "Frankenstein", cette année, au hasard de mes voyages, ce fut plutôt vers l'univers de William Shakespeare que mes pas m'ont porté.

Quelques parts en Gaulle, pour une représentation nocturne, me voilà donc assistant à une représentation d'un "Macbeth en forêt".

J'en garde un excellent souvenir, une relecture allégée de l'oeuvre, lisible par toutes et tous.

Et dire qu'à douze ans, je lisais "Roméo et Juliette", "Songes d'une nuit d'été", "Hamlet", m'efforçant de tenir le rythme d'un récit qui gagne plus à être entendu et joué qu'être lu ...

Ce qui fut donc fait avec maestria en cette nuit, ou hantant le parc de Chamarande, nous nous sommes aventurés sur les pas de "M" le maudit.

Après ... et bien deux mois d'été au ralenti tout simplement.

De la nostalgie me faisant parfois parcourir d'autres contrées virtuelles, des idées de jeux nouveaux, des désirs et des non-envies, paradoxe de ma multiciplité ... coeur de loup, coeur de pierre, coeur de cristal ...

Mar 26 aoû 2014 Aucun commentaire