Stigmata Doloris 2008

3-"Bdsm" médical...

Bdsm médical…

Et oui, en principe je n'ai jamais été intéressé par la pratique du sm-médical...mais, ces derniers temps, cela me trotte un peu dans la tête, en terme de scénario...pour le diablotin par exemple...


Et c'est une de ses suggestions de jeu... (la colle qu'elle m'a posée là...!)
Alors je furette, je cherche et j'imagine...
Bon d'accord, le sujet est un peu plus hard mais en dehors de certains excès que l'on peut trouver ici et là, j'imagine très bien examiner sous toutes les coutures la demoiselle, prendre un rôle de "médecin" ou "infirmier" un tantinet pervers avec le grand méchant look qui va avec...
En quoi cela consisterait-il, je ne sais pas encore...et elle va pouvoir encore courir dans les bois...mais j'ai quelques idées originales.
On est loin des jonquilles, je sais...



Voilà, ce qui devait être "joué" hier soir ne l'a pas été...un repas et de longues discussions, de véritables retrouvailles, avec un moment câlin...
Donc, il faut parfois mieux éviter de gâcher ce type de moments si rare et faire revenir l'essentiel en avant, le fait d'être amant.
Par contre ce matin, elle se prépare et se pomponne tandis que moi, je l'attends dans ma tenue blanche et mes chaussons bleus...
Même si la Demoiselle a dit qu'elle n'a pas regardé dans mes deux sacs, j'ai toujours un petit doute, mais chut....
Je pianote sur le clavier avec deux gants en latex, et ce n'est pas facile...
Elle a parfois de drôles de rêves,
je ne sais pas trop ce qui va se passer, j'ai des lignes de scénario, un fil conducteur, mais quelles seront ses réactions ?
Ses attentes, ses désirs...


La situation vue par elle…

Me voici toute prête, habillée et maquillée.
Un homme en vêtements blancs m’attend.
Non je n’ai pas regardé dans ses sacs, j’aime les surprises.
Je passe dans une pièce / chambre, la ou je dois passer ma visite médicale.
Il me déshabille lentement pour ne laisser que mes bas noirs, chaussures noirs haut talon, des attaches aux chevilles, de longs gants noirs avec des attaches aux poignets ainsi qu’un collier en cuir noir.
Me voici à sa disposition !
Des pinces arrivent sur mes seins. Je suis allongée sur le dos, jambes écartées, offerte.
Une petite lampe stylo vient m’examiner de près sur toute la surface de mon corps d’ébène pailleté.
Le moindre de mes plis et replis sont inspectés. La lampe me brûle par moment lorsqu’elle est collée à ma peau. Des doigts prospectent aussi, s’infiltrant en moi.
Il me fait asseoir pour une fellation afin de garder précieusement sa semence dans ma bouche afin de la déposer dans un tube pour des examens. En dessous des vêtements blancs, il porte un pantalon de cuir noir. Pas facile avec mes gants de le déshabiller et le rhabiller !
Mes seins se ballottant durant que je m’occupe de lui, font sonner les petites clochettes.
Je me concentre sur son sexe contre ces lourdeurs qui se trouvent au bout de mes tétons, ne pas ressentir !
En me levant, les pinces passeront de mes seins aux lèvres de mon sexe. Je gémis lorsqu’ils seront libérés. Il vient me les téter.
Je reste courbée sur le bord du lit pour recevoir la correction due a certains de mes mensonges. Le loup n’est pas content de sa femelle.
Les lanières d’un martinet puis d’une tresse en cuir, viennent mordre mes fesses, mon dos, mes cuisses.
Les poids suspendus à mes lèvres font chanter les clochettes.
Le dernier examen ou épreuve approche. Il aura des mots rassurants, mais cela n’empêche pas un moment de panique. Les prochains objets sont de petites aiguilles.
Je ne peux pas et il le comprend.
Je serai donc enchaînée poignets et chevilles sur le lit afin qu’il me prenne pour notre plus grand plaisir …
Voilà donc notre curieuse séance « visite médicale ».



La situation vue par moi...
" Cela fait quelques dizaines de minutes que la Demoiselle s'est absentée, elle se prépare dans la salle-de-bain.
Moi, j'attends, un peu stressé, j'ai préparé tout le matériel médical que j'ai pu glaner ici et là...
Combinaison blanche, chaussons bleus de pré-op, j'ai enfilé mes gants chirurgicaux et j'attends.
La porte de la salle-de-bain s'ouvre et elle est là...
Elle porte un caraco et un boxer de satin rose, un collier clouté et une paire de gants en vinyl noir...
Je la prends par la main et la conduit vers le lieu de l'examen.
Une pièce blanche, pas de table ou de chaise gynéco, mais un vaste lit.
Le diablotin est la, tremblante, émue semble t’il.
Il y a bien des questions que je me pose depuis son défi lancé il y a un mois...
Elle s'est peut-être aventuré dans des zones obscures, c'est à moi de savoir ou deviner ce qu'elle y a vécu ou fait.
Un laid motif, un fil conducteur a cet interrogatoire médical.
D'abord, je regarde attentivement sa peau, à la recherche de marques révélatrices de jeux insoupçonnés et inavouables.
J'ausculte, elle me répond brièvement à mes questions.
Je prends la petite lampe dont l'ampoule, par la suite se révélera redoutable, une sensation de chaleur extrême, cuisante et vive...
J'inspecte, regarde, ausculte puis, je lui ordonne de se déshabiller.
Elle s'exécute laissant apparaître sa peau couleur café.
Ses petits seins sont là, un peu en portemanteau, dont les bouts remontent, une curiosité, un intérêt de plus pour nos jeux...
Je la fais se tourner devant moi, le faisceau lumineux de la lampe parcours son corps.
Je regarde plus profondément, sa peau sombre laisse entrevoir des espaces de chair plus rose, plus intimes.
J'ausculte, je fouille, je sonde...
Elle gémit de plaisir.
J'applique ici et là une claque salutaire, elle saisit mes demandes et désirs et s'exécute.
Puis, je décide de lui faire un prélèvement de ma semence, elle s'agenouille devant moi et avec une certaine maladresse, abaisse mon pantalon blanc et essaie d'ouvrir la fermeture de mon pantalon de cuir.
Mon sexe est dur, elle le prend en bouche et commence une longue fellation.
Le diablotin n'a pas trop l'habitude d'avoir les mains entravées, elle est maladroite mais avec le temps, le rythme vient, l'oscillation de sa tête, le va et vient de sa bouche font monter le plaisir en moi.
Je jouis en elle, j'entends qu'elle s'étrangle, elle a la consigne de garder ma semence en bouche et par la suite de la "recracher" dans un petit pot.
Elle le fait consciencieusement puis, me regardant avec son regard mutin "Oups ! J'en ai avalé un peu..." me dit-elle...
Cela lui vaudra bien quelques coups de cravaches.
Je la fais mettre a quatre pattes sur le lit, je prends des écarteurs que j'introduis dans son sexe, c'est une drôle de sensation dit-elle, une gêne, je n'insiste pas.
Je prends la lampe et j'ausculte plus intimement, elle a un sursaut quand l'ampoule touche son intimité, elle est brûlante, elle a senti la morsure de la brûlure.
Je continue et joue avec elle...
Je la remets debout et je prends d'autres pinces, des métalliques, énormes, elle a un regard apeuré, avec précaution, je teste doucement.
"Aie", feule t’elle...
J'arrête, je prends alors d'autres pinces munies d'anneaux qui s'entrechoquent entre eux.
Je les applique sur ses tétons érigés et me mettant a genoux, deux autres sur les lèvres de son sexe...
Elle serre les dents.
Prenant ma cravache, je commence à titiller ses zones sensibles, ses fesses, son sexe, ses seins...
Elle s'agite en effectuant une danse des plus émoustillantes...
J'arrête et puis avec précaution j'enlève les pinces.
Le diablotin "feule" de nouveau, son côté animal qui ressort en elle.
Maintenant vient le moment "redouté", je lui montre les aiguilles stériles, elle a peur et je comprends son recul...
Pour la consoler, et pour nous deux, nous nous sommes allongés et avons fait l'amour, tendrement et furieusement à la fois..."