Stigmata Doloris 2008
5-Domination virtuelle (suite...)
Domination virtuelle (2)
Lui- Te revoilà devant moi...nue avec ce collier de cuir qui te va si bien...
Les chaînes de tes menottes de cuir entrave les poignets attachés à ce collier.
Te voila après avoir quitté cette cave ou nous nous sommes aimé...
Ici, c'est un grenier aménagé, une chambre avec un plafond qui s'élève, un univers de blanc...
Tu es la nue et tremblante à nouveau...
Elle- Dieu que j'aime ce collier à mon cou.
Cette entrave qui m'empêche de respirer convenablement.
Ce lien virtuel entre nous deux qui me rend folle, sauvage, humide, offerte à tes attentes !
Je suis là devant toi, terrorisée comme à chaque fois et j’attends …
Lui- Eh oui, de temps en temps, me voilà dans cet univers créé pour nous deux...un univers de domination et de soumission...hors du temps...
Je tourne autour de toi, je te caresse avec mes maints gantées de cuir...tu respires rapidement, une excitation qui monte déjà en toi...et oui, trop de choses dites et faites hors propos méritent d'être sanctionnées...
Voilà que tu vas subir ma juste colère pour mon et ton plaisir...
Elle- Je sais que je n'ai pas souvent les bons mots, la bonne attitude.
Que je suis peut-être tournée vers un autre homme ... comme en attente de sa décision … qui ne vient pas
Ai je mérité correction ?
Bien, je l’accepte.
Après tout il ne m’a pas mis encore de collier au cou définitivement …
Lui- Une correction, c'est corriger, c'est remettre droite cette cravache que je tiens en main...cravache que d'autres ont déjà manié...et que le temps a fait courber.
Je la prends en main, longue, recouverte de cuir noir avec un bout de métal, un bel objet...redoutable pour qui sait la manier.
Je commence à l'agiter et à porter des coups au niveau des cuisses...
Vous vous agitez mais vous ne vous refusez pas à mes "caresses"...
Les mouvements deviennent plus forts, et je les porte plus intensément sur vos hanches...
La je sens déjà du plaisir qui monte en vous...
Bien trop tôt...
Je recingle vos fesses, la douleur vous fait crier ...
Mais vous offrez toujours vos courbes à mes caresses "virtuelles"...
Elle- Et oui, voilà la cravache qui vient jouer avec moi, sur moi.
Je crois que c’est mon instrument préféré avec ces sifflements dans l’air et son impact si brusque, si bref sur ma peau.
Vous êtes en colère monsieur, je le sens …
J’aime les coups sur mes hanches, point diaboliquement sensible qui résonne au plus profond de moi.
Je suis loin et si proche, mais la douleur me rappelle à l’ordre et je crie !
Je crie de plaisir mais aussi de rage.
Une envie de me défouler, d’exister, d’oublier aussi.
Cette cravache n’appartient-elle pas à celui qui l’a prise en main le premier ?
Je crois que ces derniers coups ont réveillé en moi ce doute, cette appartenance.
Mais je vous remercie pour le bien que vous venez de me donner.
Qui me rappellent qui je suis, ce que j’aime … à qui j’appartiens secrètement …
Et oui, cette cravache appartient au premier qui l'a eu en main...
Lui- Mais qui était-elle cette femme qui un soir de solitude a prise cette cravache pour pouvoir assouvir ses fantasmes.
Non une cravache trouvée dans un magasin d'équitation mais bien une de celle que l'on peux trouver dans des boutiques spécialisées...
La voila maintenant devant moi, cette femme, mi-diable, mi-rebelle...avec ses cheveux noirs étalés sur sa nuque.
Je cingle de plus en plus fort ses fesses, la douleur est là en elle...
J'arrête, je commence à donner des coups sur son entrejambes, d'instinct elle les écarte et m'offre la vision de son sexe rasé...
Elle est devant moi, les lèvres serrées...et je porte mes coups sur son sexe...
Celui s'ouvre comme une huître...mes coups s'arrêtent et tel un archet sur un violon, je fais passer cette cravache sur son sexe humide...
le plaisir revient en elle...
Elle- Et bien maintenant je sais à quoi m'attendre, ce que je ressens dans le jeu.
Je ne peux pas donner et prendre sans sentiments.
Cette cravache que j’ai achetée était pour celui qui prendrait le pas dans ma tête avant de me laisser ses marques et du plaisir.
Je ne sais pas me détacher de cet ensemble même si je prends plaisir avec d’autres.
Terrible ce que souhaite la tête et le pouvoir qu’elle a sur le corps …
Mais la tête prend le pas sur moi et malgré le plaisir qui vient en moi, cette humidité qui appelle au plaisir à assouvir … mes jambes se referment sur elle.
Mon collier m’oppresse, mes mains reviennent se poser tout contre moi et je me laisse tomber recroquevillée ... et j’attends la fin, la tête ailleurs … si loin … voilà mes limites …
Qui suis-je ?
Lui- Le plaisir ou autre chose d'indéfinissable est monté en toi...
Tu t'agenouilles, le regard perdu dans le vague...des rêves de plage de sable blanc...je laisse cette cravache glisser sur le sol et je m'agenouille à côté de toi...souffrance et plaisir...je te caresse et tu penches la tête vers l'avant, libérant ta nuque à mon regard...et je la mordille car je sais que tu aimes cela...
L'écran devient noir...place à la tendresse et aux câlins, une autre histoire...
Domination virtuelle (2)
Lui- Te revoilà devant moi...nue avec ce collier de cuir qui te va si bien...
Les chaînes de tes menottes de cuir entrave les poignets attachés à ce collier.
Te voila après avoir quitté cette cave ou nous nous sommes aimé...
Ici, c'est un grenier aménagé, une chambre avec un plafond qui s'élève, un univers de blanc...
Tu es la nue et tremblante à nouveau...
Elle- Dieu que j'aime ce collier à mon cou.
Cette entrave qui m'empêche de respirer convenablement.
Ce lien virtuel entre nous deux qui me rend folle, sauvage, humide, offerte à tes attentes !
Je suis là devant toi, terrorisée comme à chaque fois et j’attends …
Lui- Eh oui, de temps en temps, me voilà dans cet univers créé pour nous deux...un univers de domination et de soumission...hors du temps...
Je tourne autour de toi, je te caresse avec mes maints gantées de cuir...tu respires rapidement, une excitation qui monte déjà en toi...et oui, trop de choses dites et faites hors propos méritent d'être sanctionnées...
Voilà que tu vas subir ma juste colère pour mon et ton plaisir...
Elle- Je sais que je n'ai pas souvent les bons mots, la bonne attitude.
Que je suis peut-être tournée vers un autre homme ... comme en attente de sa décision … qui ne vient pas
Ai je mérité correction ?
Bien, je l’accepte.
Après tout il ne m’a pas mis encore de collier au cou définitivement …
Lui- Une correction, c'est corriger, c'est remettre droite cette cravache que je tiens en main...cravache que d'autres ont déjà manié...et que le temps a fait courber.
Je la prends en main, longue, recouverte de cuir noir avec un bout de métal, un bel objet...redoutable pour qui sait la manier.
Je commence à l'agiter et à porter des coups au niveau des cuisses...
Vous vous agitez mais vous ne vous refusez pas à mes "caresses"...
Les mouvements deviennent plus forts, et je les porte plus intensément sur vos hanches...
La je sens déjà du plaisir qui monte en vous...
Bien trop tôt...
Je recingle vos fesses, la douleur vous fait crier ...
Mais vous offrez toujours vos courbes à mes caresses "virtuelles"...
Elle- Et oui, voilà la cravache qui vient jouer avec moi, sur moi.
Je crois que c’est mon instrument préféré avec ces sifflements dans l’air et son impact si brusque, si bref sur ma peau.
Vous êtes en colère monsieur, je le sens …
J’aime les coups sur mes hanches, point diaboliquement sensible qui résonne au plus profond de moi.
Je suis loin et si proche, mais la douleur me rappelle à l’ordre et je crie !
Je crie de plaisir mais aussi de rage.
Une envie de me défouler, d’exister, d’oublier aussi.
Cette cravache n’appartient-elle pas à celui qui l’a prise en main le premier ?
Je crois que ces derniers coups ont réveillé en moi ce doute, cette appartenance.
Mais je vous remercie pour le bien que vous venez de me donner.
Qui me rappellent qui je suis, ce que j’aime … à qui j’appartiens secrètement …
Et oui, cette cravache appartient au premier qui l'a eu en main...
Lui- Mais qui était-elle cette femme qui un soir de solitude a prise cette cravache pour pouvoir assouvir ses fantasmes.
Non une cravache trouvée dans un magasin d'équitation mais bien une de celle que l'on peux trouver dans des boutiques spécialisées...
La voila maintenant devant moi, cette femme, mi-diable, mi-rebelle...avec ses cheveux noirs étalés sur sa nuque.
Je cingle de plus en plus fort ses fesses, la douleur est là en elle...
J'arrête, je commence à donner des coups sur son entrejambes, d'instinct elle les écarte et m'offre la vision de son sexe rasé...
Elle est devant moi, les lèvres serrées...et je porte mes coups sur son sexe...
Celui s'ouvre comme une huître...mes coups s'arrêtent et tel un archet sur un violon, je fais passer cette cravache sur son sexe humide...
le plaisir revient en elle...
Elle- Et bien maintenant je sais à quoi m'attendre, ce que je ressens dans le jeu.
Je ne peux pas donner et prendre sans sentiments.
Cette cravache que j’ai achetée était pour celui qui prendrait le pas dans ma tête avant de me laisser ses marques et du plaisir.
Je ne sais pas me détacher de cet ensemble même si je prends plaisir avec d’autres.
Terrible ce que souhaite la tête et le pouvoir qu’elle a sur le corps …
Mais la tête prend le pas sur moi et malgré le plaisir qui vient en moi, cette humidité qui appelle au plaisir à assouvir … mes jambes se referment sur elle.
Mon collier m’oppresse, mes mains reviennent se poser tout contre moi et je me laisse tomber recroquevillée ... et j’attends la fin, la tête ailleurs … si loin … voilà mes limites …
Qui suis-je ?
Lui- Le plaisir ou autre chose d'indéfinissable est monté en toi...
Tu t'agenouilles, le regard perdu dans le vague...des rêves de plage de sable blanc...je laisse cette cravache glisser sur le sol et je m'agenouille à côté de toi...souffrance et plaisir...je te caresse et tu penches la tête vers l'avant, libérant ta nuque à mon regard...et je la mordille car je sais que tu aimes cela...
L'écran devient noir...place à la tendresse et aux câlins, une autre histoire...
Lun 18 aoû 2008
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