Stigmata Doloris 2008
28- Milking way...
Voyager sur le net apporte parfois et même souvent sa part de découvertes surprenantes, de souvenirs décadents et d'envies sortant du lot habituel des fantasmes.
Si l'image d'une « pet-girl », agenouillée devant son Seigneur et Maître, portant collier clouté semble être des plus classiques, un détail bien plus parlant est celui de ce ventre arrondi signe d'un enfantement proche.
Dans mon vécu, je ne peux dire que l'image d'une femme féconde m'ait apporté son lot d'envies, mais il est vrai que le trouble provient plus des jeux de maux et de souvenirs associés.
Étant devant l'éternel, un amateur des jeux de crocs, de morsures sensuelles voire cinglantes sur les tétons de mes partenaires, je dois avouer être et avoir été un amateur de ces moments rares ou de ces seins offerts, je pouvais boire à la source de vie.
Dans ma vie, cette expérience j'ai pu la vivre avec deux partenaires, la première était celle qui en son temps et durant cela presque quinze ans fut mon épouse.
Trois maternités et sa « disponibilité » purent étancher ma soif de gouter avidement son lait...
Et même si dans cette pratique fort sage, il n'était pas question d'une quelconque morsure, le côté animal de la chose, le fait que malgré tout nous trouvions un juste plaisir partagé, rendait cela quasi divin.
Moments furtifs d'un passé éloigné...
Il fut une époque plus récente, ou ayant entamé une nouvelle vie ou plutôt retrouvé certains repères sur d'autres pistes de chasse, je côtoyais une demoizelle qui adorait la façon impie dont je pouvais jouer avec ces seins, morsures et élongations, succions de ceux-ci se succédant au rythme de nos corps à corps.
Il n'était pas question d'une quelconque montée de lait et autres jeux de succion...mais le hasard fit qu'un jour la discussion vint sur un coin d'oreiller.
Quelque part, sur un autre « forum », lieu de débats et d'affrontements, une participante parlait du plaisir d'allaiter sa fille « adoptive »...
Le non-sens de la phrase postée sur le net, nous avait fait bondir... comment allaiter une enfant si il n'y avait pas eu d'enfantement au préalable...comment oser nous faire croire ce que certains d'entre-nous, au courant de la « chose » médicale, ne pouvait concevoir...
Nous en étions donc à plus que douter de cela, à remettre en question la crédibilité de cette interlocutrice quand force fut pour nous de constater que la chose était possible.
Oui, sans avoir enfanté, sans avoir vécu le déluge hormonal de la grossesse, celui de la naissance, une femme pouvait tricher avec son corps et moyennant une discipline de fer et aidée par quelques potions magiques, rendre pour un temps son corps apte à devenir source de vie et de lactation.
Cela n'aurait été qu'un débat « instructif » de plus si dans nos jeux, l'idée de soumettre ma compagne à ce genre de « régime » n'avait pas été envisagée, abordée...
Transformer sa partenaire, en créature hybride, soumise portant un collier de cuir, objet de jeux cruels et d'attaches et femelle aux mamelles pleines d'un nectar offert à son Maître.
Je ne sais si le côté psychologique fut tout aussi important mais l'impensable arriva...
Sans avoir eu à recourir à ces potions, en n'ayant eu au final qu'a recourir à une stimulation intense et répétée de ces attributs, il me fut donné pour un court temps de ressentir à nouveau sourdre quelques gouttes de lait des tétons de la soumise juchée sur mon bassin, offrant encore et encore mes crocs avides, ses deux seins lourds...
On me parlera de « stimulations », « d'excitations », d'une influence de l'esprit sur
le corps, influence que je ne nie pas, mais rien ne m'avait préparé à cette image d'une paire de seins gonflés de désirs, d'un collier clouté et des gémissements de plaisirs de ma partenaire,
à ce gout doucereux qui envahi le palais d'un Lycan avide de vider jusqu'à la dernière goutte, cette "outre" de sensualité démoniaque.
Alors oui, rien que pour cela je ne nie pas mon côté pervers...si cela est d'autant plus bon et beau.
Une « milking way », une voie lactée, des poussières d'étoiles dans des yeux sombres, des perles de lait sur deux tétons rougissants...quelques gouttes de sang s'y mêlant, ultime sacrifice et don de soi.