Stigmata Doloris 2008
Je ne vais pas vous parler d'une centrale atomique, ni d'un megalodon radio-actif (pour qui aurait suivi les aventures de megashark...) mais d'une récente trouvaille dans une de mes cavernes d'Ali-baba, un endroit fourre-tout mi dépôt-vente, mi-antiquaire.
J'ai quelques projets en route et ceux-ci nécessitent l'acquisition de "matière première" que je "cannibalise" éhonteusement sur des objets trouvés ici et là.
Bref, une de mes passions est de faire brocantes et solderies, marchés-aux-puces etc...
Parfois et souvent, mon regard s'attarde sur l'objet "rare", celui qui se trouve le témoin d'un érotisme d'antan.
Ces objet sont souvent hors de prix mais par chance, parfois, niché dans un coin, oublié d'un brocanteur ou autre antiquaire, je parviens à trouver le "petit quelque chose" qui titille ma curiosité.
C'est ainsi que voyant une figurine en "biscuit" représentant une "geisha" assise avec un jupon étalé autour d'elle et comme indication "The yellow peril", j'ai vite fait l'association avec d'autres figurines vues dans divers musées de l'érotisme...
Pour cela, il ne fallait que seulement retourner la susdite figurine et espérer y trouver le détail grivois et coquin caractéristique de ce type de production des années trente made in England.
Faisant appel au vendeur, je pu donc découvrir qu'effectivement la susdite geisha ne portait rien en dessous de son jupon et offrait à la vue de l'incorrigible curieux, la vision de son fondement...
Bref, une "curiosa" (objet érotique ancien) des plus classiques mais qui fut acquise dare-dare...
Je me dis qu'avec le temps, vu la quantité de trucs et autres bidules que j'accumule, je pourrais le monter moi-même ce "Musée de l'érotisme" made-in-Belgique ( ...c'est un projet qui me titille parfois, pour mes vieux jours, un resto-musée-donjon, le truc qui allie culture et ripaille, jeux et émois...)