Requiem K.626 Dies irae Mozart

Gérer ses priorités, faire passer en premier ce qui "mon" essentiel, oublier ses promesses et projets, effacer d'un coup son agenda, se remettre à réfléchir sur ce que l'on est, ce que l'on veut, se dire qu'au final on se "gâche" soi-même...

Pas de poussée "abandonnique" ceci-dit, mais se dire que l'on a eu de la chance, et que celle-ci, on l'a peut-être gâché parce que trop "exigeant", "impatient" ou simplement parce qu'il fallait faire un choix et que même si celui-ci n'est pas le mien, il est "raisonnable" et "raisonné"...

Un "REQUIEM" donc, un de plus, un cycle de 42 mois d'Amour, de tendresse et même d'Appartenance...

Peut-être suis-je moi-même "toxique" au final, mais d'une toxicité lente, subtile qui se diffuse au fil des mois, un truc que je ne maîtrise pas mais qui fait partie de ce que je suis.

"No Futur" avais-je écrit en son temps quelque part me concernant, peut-être avais-je raison...

Pas de "futur" avec le Loup, Lycan, Grand-Nord et autres créatures dont j'ai endossé la peau ne fusse qu'un temps... et certainement pas de "one-shot", de "passade"...

Satané paradoxe !