Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 09:30

 

  Fessee-merveilleuse.jpg

 

                          Illustration de Frank Frazetta

 

Ce récit était perdu dans les limbes du net, publié sur Ouaibe-fesse début 2004, il fut effacé à ma demande.

Ouaibe-fesse ayant connu des avatars, n'ayant moi-même pas archivé ce texte, j'ai pu retrouver quelques extraits "papiers" mais pas suffisamment pour reconstituer le récit des origines.

 

Par chance, Agramant a ressuscité le site proprement dit et par un tour de passe-passe "magique" a réussi à remettre en ligne toutes les archives de Ouaibe, de 1999 à nos jours...

 

Et dans ces archives, rescapé du naufrage, ce texte dédié à la fessée.

 

 

 

La fessée merveilleuse.

 

Il est un autre lieu, une autre époque, dans des contrées lointaines, dans des pays ou exhalent les senteurs des épices, une oasis perdue dans laquelle se niche une citée merveilleuse.
Je ne dévoilerai pas son nom...
Sachez qu'elle existe bel et bien, quelque part au fond de nos rêves d'enfants et de ceux que nous avons encore en tant qu'adulte...

C'est une oasis ou vit un peuple pacifique, un peuple qui adore une divinité la déesse "Sévérité" au deux mains vengeresses.
Le culte de cette déesse prône la fessée comme moyen d'aplanir les conflits...ou pour tout les instants de la vie.

Des sages qui logent au cœur de cette citée, aux jardins suspendus, ont étudiés les récits d'autres civilisations antiques, Atlantide, Hyperborée, Lémurie, Mu pour en conclure qu'une bonne fessée vaux mieux qu'une mauvaise guerre.
Et a partir de cela, cette citée merveilleuse, a l'extrême de l'Orient, s'est créé...
Beaucoup la connaissent par ouïe-dire, des rumeurs qui courent un peu partout, et il y a parfois des voyageurs qui arrivent après un très long voyage en vue de cette île de verdure dans un univers de sable et de cailloux.

De loin, quelques dizaines de lieu, c'est d'abord un édifice monumental que l'on voit...une tour immense composée de sept étages, une tour de briques émaillées.
La tour de "Bas-Belle", érigée pour le culte des postérieurs et des fessiers de ceux et celles qui adorent la déesse "Sévérité".
Le temps et l'oubli, on raccourci le terme de "Bas-Belle" en "Babel" et l'on expurgé de son premier sens.

Une tour fédératrice ou tous venant de différents horizons venaient de loin pour y rencontrer une certaine sagesse.
Des contrées du Grand-Nord, du pays des Francs, des marches de l'Est, des cantons de l'Helvétie jusqu'à la lointaine et glacée Belle Province, ils venaient hommes et femmes après un

long et périlleux périple.

Au fur et à mesure que les caravanes avançaient, le désert devenait fertile, on découvrait un fleuve qui arrosait ces terres qui devenaient de plus en plus vertes...
Certains disent même que les hyperboréens avant de partir pour Mars, la Rouge, avaient laissé des pousses de fleurs-à-fessées que cultivaient avec amour et respect des jeunes filles au teint de cuivre et en tulle vaporeux.

Après avoir franchi une zone de culture, on arrivait en vue des murailles de cette cité...
Une allée monumentale pavée de briques bleues, invitait le voyageur a s'engager vers ce lieu de culte.

Le long de cette allée, il y avait des statues présentant les plus célèbres "fessables" de l'histoire de cette citée.
Dans des poses les plus suggestives, les sculpteurs avaient immortalisé des moments de bonheur et de plaisir.

Arrivé à la porte de cette citée, il y avait une grille en fer forgé, offerte par un seigneur de l'Est qui vouait un culte à la fessée, une immense grille qui s'ouvrait sur un marché, un bazar ou tout le peuple de cette citée aux heures les moins chaudes, venait vaquer à ses occupations, et ses plaisirs...

 

Et oui, car dans cette oasis, il existe aussi la fessée voluptueuse, cette fessée se donne plus particulièrement
dans les "Palais des 1000 plaisirs"...
Des palais construits pour que hommes et femmes puissent trouver leur plaisir et leur amant d'un moment.

Cependant, le soir, quand la nuit tombe et que la douceur de l'air pousse les amants à s'ébattre dans les jardins suspendus, des cris et des rires de fessées sensuelles s'élèvent parmi les baobabs, se mêlant au bruit cristallin des cascades et des fontaines.
Dans la pénombre des sous-bois, de jeunes hommes et femmes se rencontrent la première fois.
Maladroitement mais avec la fougue de la jeunesse, ils s'initient alors à la fessée voluptueuse, celle des amants.
Les cris font place alors aux gémissements de plaisir.

Il existe d'autres endroits, plus obscurs, où se retrouvent les adeptes d'un culte plus ancien, plus primitif...
Adeptes qui se réunissent en secret pratiquant l'art extrême de la fessée suivant les premiers sourates de la déesse
"Sévérité".
Ces adeptes sont discrets et restent respectueux de la philosophie de paix et de tolérance qui règne dans cette cité.

Dans les "Palais des 1000 plaisirs", la nuit tombée, hommes et femmes, fesseurs et fessables, se cherchent et se trouvent pour une fessée voluptueuse, voire collective, tout est question de libre choix pour eux...
Parmi les hommes et les femmes, se promènent les Sages Fondateurs de la cité durant la journée, accompagné de scribes des deux sexes, font des recherches dans la grande bibliothèque construite à la base de la tour de "Bas-Belle".

Cette bibliothèque regroupe les ouvrages sauvés de l'incendie de la bibliothèque d'Alexandrie, le patrimoine "perdu" de l'Humanité, mis à l'abri du courroux et de la folie destructrice des hommes.
On y retrouve des ouvrages anciens, des tablettes et des rouleaux qui parlent du premier Dieu de la fessée, le dieu "Span-King" que d'éminents archéologues russes ont traduit par "Bas-Beau"...

Mais, avant d'aborder la tour de "Bas-Belle", je dois aussi parler du bazar entre-aperçu dans l'entrée de cette cité.
Le marché, un ensemble de parfums et de couleurs.
Après avoir franchi cette grille majestueuse, on accède directement parmi les étals et les échoppes.
Les marchands proposent des mets raffinés, des épices mystérieuses, des accessoires pour célébrer le culte de la déesse "Sévérité".
Ainsi, le ou la fessable trouvera les onguents nécessaires à calmer la rougeur et la brulure d'une invocation poussée a son paroxysme.
Durant les heures fraîches de la matinée ou dans la douceur de la soirée, le marché s'anime, de jeunes fessables à la peau cuivrée ou d'ébène déambulent avec leur pantalons en mousselines laissant entrevoir leurs formes.
De temps en temps, passent les "Sévériteurs", hommes pieux et sages qui portent la bonne "fessée" à qui le demande.
C'est comme cela que parfois un attroupement se crée quand une demoiselle demande à un de ces "Sévériteurs"
de lui appliquer une fessée consolation, ou une fessée punition pour des fautes passées ou futures...
Le public s'extasie devant le spectacle de cette culotte abaissée laissant entrevoir deux globes cuivrés.
L'homme, lève la main et progressivement frappe le postérieur de la jeune fille qui se met à pousser des cris.
Des cris de surprises d'abord, puis au fur et à mesure que le rythme augmente des cris de plaisir.
La foule se tait, les cris augmentent et se termine par un râle de la jeune adepte.
Celle-ci se relève, le regard brillant, la mine épanoui...
Le "Sévériteur" lui accorde un doux sourire...et elle s'en va en courant rejoindre son amant.

 

Cette cité mystérieuse, construite il y a fort longtemps par des sages existe toujours...


Des équipes de chercheurs ramènent de leurs voyages des traces, des vestiges pour nous permettre un jour de la retrouver.
Et de plus en plus, les indices nous prouvent que partant de divers endroits du monde, hommes et femmes retrouvent les pistes anciennes des caravanes qui conduisent à cette cité.

De ces vestiges et tablettes que nous avons déjà trouvé dans nos explorations, il y a les récits de Marco Polo qui lors de son voyage vers la Chine du Grand Mogol, s'est arrêté un temps dans cette cité mystérieuse.
Cette partie de son récit fut "confisqué" à son retour par les autorités de Rome et déposée dans une des caves secrètes du Vatican...

Marco Polo et ses frères venaient juste d'échapper au "Vieux de la montagne" et de ses sbires les "Assassins" ( terme venant de "haschich" car celui-ci droguait ses sbires pour leur faire commettre ses crimes ), se retrouvant dans une plaine après une longue course poursuite, ils virent au loin, la tour de "Bas-Belle" se dresser au centre de cette cité.
Ils n'avaient jamais rien vu de tel...ils crurent d'abord être en face de Shangri-La, une autre cité mythique.
Mais a la vue des statues qui se dressaient à l'entrée de la cité, ils comprirent vite que les valeurs de cette cité mystérieuse étaient fort différentes de la cité perdue du toit du monde.
Ces cavaliers couverts de poussière et exténués furent accueillis a l'entrée par une foule de jeunes filles et quelques "Sévériteurs".
De prime abord, Marco Polo fut impressionné par la beauté de ces demoiselles et du regard que celles-ci lui portaient.
Quand aux "Sévériteurs", rien de menaçant n'émanait d'eux et c'est en confiance que la petite troupe entra dans la cité.

Ils traversèrent le bazar, purent contempler les jardins suspendus, passèrent devant l'entrée des "Palais des 1000 plaisirs" et arrivèrent enfin dans le "Forum", un lieu de rencontre entre les sages et les fous (parfois la différence entre les deux étant très mince...).


Ce "Forum" était un lieu de discussions, de palabres et d'échanges.


Les Sages Fondateurs accueillirent donc Marco Polo et ils firent la présentation de la cité...
Les Vénitiens furent impressionnés par ce qui leur était dit, par la description des plaisirs de la fessée et de son usage au quotidien dans cette oasis.

Ils furent invité comme voyageurs a rester quelques temps et a parfaire leur culture.

Pour cela, ils durent d'abord franchir la première étape des sept cercles de la tour.
Une porte de bois qui s'ouvrit sur le premier monde de la fessée...

Celui de la «fessée initiatrice ».
Dans un couloir immense, ici et là, s'ouvrent des alcôves.
Pas de portes, rien que des voilages qui cachent à peine les fesseurs et fesseuses qui attendent d'être initié à ce noble art.
Des fessables hommes et femmes, se présentent accompagnés de "Sévériteurs".
Il y a d'abord une mise en confiance des partenaires, quelques caresses, maladroites pour les débutants, puis, le "Sévériteur" applique la première claque, sur une des deux fesses, pour bien montrer l'endroit, pour bien faire entendre le bruit qu'elle doit faire.
Un claquement sec, rapide et la main qui remonte, une pause...
L'apprenti fesseur, a regardé, il caresse et puis applique sa première claque...
Une hésitation, un doute, et c'est un raté, la main ne se pose pas au bon endroit, le bruit est sourd, la main s'est étalée mollement...
Le "Sévériteur" sourit, il recommence et l'élève suit de nouveau du regard ce qui se passe.
La claque est suivie d'une autre, cela devient une véritable fessée...le derrière rougit...
Après quelques passes, l'élève reprend "la main".
Il recommence et cela va mieux, il sent le plaisir de sentir le contact de sa paume sur un derrière qui rougit et dont la chaleur des fesses commence à irradier dans sa main.
Et puis, il y a toujours ces petits cris de douleurs contenus au début, cris qui au fur et à mesure se transforment en cris de plaisir.
L'élève se surpasse...le "Sévériteur" doit d'un regard l'inviter à se maîtriser...c'est une fessée initiatrice...pas une fessée punition ou une fessée pulsion.
Devant ces jeunes filles et hommes qui s'offrent à ces fesseurs et fesseuses, Marco Polo et ses frères furent invité à essayer ces plaisirs inconnus de leur Venise natale...

Extraits de la traduction de Don Bartholomeo (1864) des Oeuvres Impies
de Marco Polo (archives Pontificale). (1)

" Mes frères et moi, fûmes invités par les Grands Sages a entrer dans ce bâtiment magnifique,
appelé le "premier cercle", ou la "fessée initiatrice".
Dès l'entrée, ce fut le charme et le mystère de l'Orient, de jeunes donzelles qui couraient ici et là,
vêtues de tules vaporeux, de culottes fendues laissant entrevoir des charmes que notre Venise
natale n'avait jamais laissé soupçonner sauf dans le lupanar de Madame Luciola que nous avions
fréquenté assiduement avant notre départ.

Paolo, l'aîné de mes deux frères, avait une drôle d'attitude, lui qui était un colosse, une force de la
nature, je le voyais tremblant devant le spectacle qui s'offrait devant lui.
N'était-il pas intéressé...?
Avait-il un accès de pudibonderie...? Je ne comprenais pas.
J'eu la réponse assez vite.
Une interpellation d'un Grand Sage et une superbe Maure vint à notre rencontre.
Elle était torse nu laissant apparaître deux seins magnifiques et une musculature féline.
Ses muscles de panthères saillaient, faisant jouer les ombres et la lumière sur sa peau d'ébène.
Paolo se mit devant elle, tremblotant comme un enfant quémandant une friandise.
Elle le prit par la main et gracilement l'invita a entrer dans un salon.
Je n'osais comprendre, mon frère désirait être fessé...
Pour une surprise, cela en était une...de plus dans ce formidable voyage vers le pays du Grand
Mogol.
Je voyais que Enzo, mon second frère, souriait, il avait l'air d'être au courant des gouts de Paolo...
La complicité de deux aventuriers, de deux complices d'un précédent voyage...
Bientôt, de cette alcôve, j'entendis, une mélopée sortir...
Quelque chose de sauvage qui rythmait la fessée que cette superbe plante appliquait avec
passion sur le derrière mis à nu de Paolo.
Il pleurait, de plaisir et de joie...
Amina, tel était son nom, avait aussi du plaisir a fesser ce voyageur vénitien.
Son regard laissait entre-apercevoir un plaisir incommensurable, une lueur de passion...
Sa main avec force rosissait les globes laiteux du fessier fraternel.
Après un certain temps, mon frère commença a pousser des cris et Amina a exercer de plus en
plus fort son talent de fesseuse attitrée.
Je pris du recul avec Enzo car cela devenait du domaine plus intime...
Je ne voulais pas gâcher ce moment de plaisir.

 

Enzo et moi, prîmes du recul et accompagnâmes le Grand Sage vers une autre alcove, fermée par un voile transparent.
J'y jetai un coup d'oeil et vis un jeune homme, qui les fesses nues attendait qu'on vienne s'occuper de lui.
Enzo me jeta un regard brillant...
"Pourquoi pas !", dit-il et en soulevant le voile, entra dans cette pièce.
Là, j'ai eu un certain recul, en découvrant que mon frère ne semblait pas choqué par le fait de fesser un homme.
Je savais que parfois, il fréquentait les bars à matelots de la lagune mais je croyais surtout que c'était pour écouter les récits des marins et des marchands...
Avait-il fait aussi d'autres découvertes ?
Intrigué et stupéfait, je le regardais qui remontant les manches de sa chemise, semblait déjà prendre plaisir à fesser ce jeune éphèbe.
Je fus surpris par les premières claques qui furent appliquées...
Elles étaient fortes, dures...retentissantes...
Le jeune homme semblait s'y attendre, il était debout, un peu penché vers l'avant laissant ses fesses offertes aux coups de battoir des mains de mon frère.
Celui-ci commençait a transpirer, son torse laissait ruisseler des gouttelettes de transpiration, il était en sueur.
Je sentais monter en lui, une certaine excitation due au plaisir qu'il ressentait.
Moi, je restais là, a regarder, interloqué...
Le Grand Sage me pris par le bras et m'invita à le suivre vers une autre alcôve d'où s'élevait des rires cristallins .


Elle était là, une femme fleur de lotus, mince et gracile à la fois...j'ai eu envie de la prendre dans mes bras mais quelque chose me retenait.
Elle se leva et vint donc vers moi, me prit les deux mains et m'invita à la suivre vers une autre alcove plus intime...
La, elle se mit devant moi et d'un geste léger comme les voiles qu'elle portait, elle fit descendre ses vêtements...
Nue devant moi, elle écarta les bras et fit une pirouette, elle tourna sur elle même comme ces derviches de Constantinople...un tour, deux tours et elle s'arrêta, me présentant ses fesses...
Elle se pencha un peu en avant, ses longs cheveux de geai tombèrent en avant.
Elle me dit " je t'invite au paradis des fesseurs, étranger aux yeux gris-bleu...".
Je me mis a caresser son postérieur et ses fesses rebondies.
Puis l'envie me pris de frapper ses fesses de plus en plus fort...
Elle éprouvait du plaisir, car son corps qui se pliait à chaque fois que ma main heurtait sa croupe, se tendait de nouveau vers moi, à la recherche du plaisir qui montait en elle...
Je m'arrêtais pour la regarder, son regard d'ambre était brillant, humide de plaisir.
Je continuais, elle gardait les lèvres serrées mais en elle, je sentais qu'elle retenait des petits cris et des gémissements...
En moi, le désir montait aussi, un plaisir fort...
Plus je frappais, plus son corps s'agitait, elle avait noué ses mains sur la nuque et elle était là, debout s'agitant à chacune de mes caresses...
Puis elle hurla, un cris de jouissance qui monta en elle...
Ce fut à ce moment là, qu'elle se retourna vers moi et m'invita à la rejoindre sur sa couche..."

 

 

Il existerait un autre témoignage plus récent, un carnet de voyage qui fut mis à l'abri dans un temple de Saïgon.

Celui-ci fut détruit lors de la chute de la ville et le carnet disparu, il ne reste que la première page d'une aventure oubliée. (2)

 

« Journal du Colonel Daurbillac, de la Légion étrangère, responsable de la "seconde et oubliée croisière jaune"...
En 1949, après la seconde guerre mondiale, la société Citroën décida de retenter une traversée de l'Asie d'Istamboul à Saïgon...
Pour cela, une nouvelle expédition similaire à la première croisière jaune fut organisée.
Expédition dont je fus l'organisateur...
Le récit qui suis, est la seule trace de ce qui aurait dû être une aventure technologique mais qui devint une autre aventure dont, je suis actuellement le seul témoin présent ici... »

 

 

 

 

 

(1) - Lors de la saisie des documents de Marco Polo, des Eminences de Pourpre vêtues décidèrent d'envoyer des missionnaires évangéliser cette peuplade "primitive" et "impie"...
Il y eu quatre tentatives...
Durant dix ans, il y eu 43 tristes moines qui disparurent sur les chemins de cette cité...
Durant dix années, il y eu 43 nouveaux heureux convertis au culte de la déesse "Sévérité"

 

 

(2) - Des archives plus récentes, celle de la seconde croisière jaune de Citroën...croisière "interrompue", pour cause de cité de la "fessée merveilleuse"...
Cette croisière qui fut un échec technologique fut "effacée" des archives de la marque aux chevrons...

 

 

 

Il existe un autre récit du même genre publié en février 2004 sur un autre forum et heureusement sauvé, remis en ligne ici : http://stigmatadoloris.erog.fr/article-22046513.html

Par Grand Nord - Publié dans : 4- Les royaumes des sables ...
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